Rebiya Kadeer est une menteuse invétérée, et ne le dissmule même pas.
S'adressant aux journalistes dans le Club national de la presse à Canberra en Australie, la présidente du Congrès mondial ouïgour (CMO) a menti encore une fois, ce qui a permis de dévoiler une fois de plus son vrai visage.
Kadeer a accusé les autorités chinoises de supprimer les cours du ouïgour dans les écoles en forçant les Ouïgours à apprendre le chinois.
"Je pense que le gouvernement chinois doit arrêter sa politique envahissante de l'éducation à langue unique et permettre aux élèves et aux parents d'élèves de choisir toute langue qu'ils souhaitent apprendre", a dit Kadeer par la voix d'un interprète.
Paradoxalement, elle s'est prononcé en ouïgour, la langue qu'elle n'aurait pas pu utiliser si le gouvernement chinois le privait de son droit de l'apprendre.
La Chine, a-t-elle encore accusé, a adopté "des politiques partiales envers les minorités ethniques" dans les soixante années passées, exploité les Ouïgours et les a tous plongées dans la "pauvreté extrême".
En fait, elle-même était une fois un "millionnaire" du Xinjiang et une bénéficiaire des politiques préférentielles de la Chine envers les ethnies minoritaires de la région.
Commençant dans les années 1980 par le petit commerce, elle a fini par devenir la femme la plus riche du Xinjiang avant d'enfreindre la loi chinoise et être condamnée à prison.
Tout au long de son apparition dans le cercle des journalistes à Canberra, Kadeer n'a cessé de dire des mensonges dans une initiative vaine de couvrir les vérités et de masquer ses intentions et démarches séparatistes.
Dans son "discours", Kadeer appelait la Régin autonome ouïgoure du Xinjiang le "Turkistan oriental", et a publiquement proclamé que cette région autonome chinoise était un "pays indépendant" avant 1949, puis "invahie" et "annexée" par les forces armées chinoises.
Même les livres compilés par les historiens occidentaux n'a jamais décrit le Xinjiang comme un pays indépendant avant 1949. D'autant plus qu'il n'y a jamais eu de telle mention ridicule dans l'histoire chinoise.
Donc, ne sont-ce pas les mensonges de Kadeer qui affirme ne pas chercher ni de sécession de la Chine ni l'indépendance du Xinjiang?
Les mensonges, même répétés mille fois, demeurent mensonges. Un menteur maladroit demeure la risée de ceux doués de discernement. Chaque mensonge de Kadeer expose sa vraie nature de séparatiste.
Source : Xinhua
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