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Chengdu compte être au cœur des échanges sino-européens |
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· 2017-05-16 · Source: Xinhua | |
Mots-clés: Chengdu; échanges sino-européens |
DE PLUS EN PLUS DE ZONES INDUSTRIELLES
Chengdu accueille aussi de plus en plus de zones industrielles, telles que l'éco-quartier sino-français, la zone industrielle sino-allemande et la zone industrielle sino-sud-coréenne.
La société allemande SAP a construit une zone industrielle intelligente à Chengdu. Ce géant de logiciels envisage de dépenser 40 milliards de yuans (5,8 milliards de dollars) pour construire d'ici 2021 une zone industrielle dans le secteur de Tianfu à Chengdu. Cette zone comprendra des centres pour l'innovation des données, de la recherche et développement (R&D), le développement de talents, les achats mondiaux, la logistique intelligente ainsi que des installations de services éducatifs et médicaux. La fabrication intelligente sera son industrie essentielle.
L'éco-quartier franco-chinois de Chengdu veut se faire un modèle d'économie d'énergie et à bas carbone.
En s'inspirant des expériences de la France, et en combinant les spécialités de Chengdu, les deux parties veulent faire de ce quartier un modèle de développement à bas carbone, de réduction des émissions et d'économies d'énergie.
2,7 milliards de yuans (environ 390 millions de dollars) sont investis par la Société d'investissement dans les énergies du Sichuan (Chine) et Suez Environnement (France) dans cette zone, où la vie fonctionnera avec le gaz naturel.
"Par son envergure, ce projet constitue le plus grand projet d'énergie décentralisée au gaz naturel du sud-ouest de la Chine", assure Zhou Ling, chef du Bureau de promotion des parcs de coopération internationale du Quartier de développement économique et technologique de Chengdu.
L'éco-quartier, auquel participent plusieurs entreprises chinoises et françaises, constitue une plateforme majeure de coopération et d'investissement.
CITE DES SCIENCES
La Chine traverse actuellement une période de transformation de son économie qui lui permettra de passer du "fabriqué en Chine" à un modèle axé sur l'innovation, le "conçu en Chine".
Chengdu a simplifié les procédures d'immatriculation des entreprises, pris des mesures fermes en vue de protéger la propriété intellectuelle et lancé des réformes dans les universités afin d'encourager le transfert et la commercialisation de technologie.
Pour des sociétés de haute technologie étrangères, Chengdu est une ville internationale très attirante. "L'environnement d'investissement et de développement est très favorable pour les start-up ici", confie Lu Bo, un responsable de la filiale chinoise de la société française M2M, qui développe, conçoit et vend des systèmes multiéléments pour le contrôle non destructif (CND) d'éléments industriels par ultrasons.
Attiré par le grand potentiel de développement en Chine, M2M a ouvert en décembre 2013 son bureaux chinois à Chengdu, proposant ses systèmes pour répondre aux exigences industrielles dans les domaines de l'aéronautique, la sidérurgie, la pétrochimie, l'automobile et le nucléaire. Avec sa gamme de produits polyvalents et modulaires, M2M marche très bien en Chine.
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