Chine Tibet : Faits et Chiffres (2008) |
Chapitre 9 Stabilité sociale, vie du peuple et sécurité sociale 9-1 Maintien de la stabilité sociale Le gouvernement chinois attache depuis toujours de l'importance à la stabilité sociale du Tibet, à l'amélioration de la vie et de la sécurité sociale de la population locale. Diverses mesures sont prises telles que développer l'économie, perfectionner le système juridique, accélérer la construction d'infrastructures, renforcer l'intensité de l'aide dans différents domaines, de sorte qu'au Tibet règne partout une atmosphère joyeuse marquée par la prospérité de différents secteurs, le développement économique, le progrès social, la situation stable, l'union ethnique et à la vie d'aisance du peuple. Notamment depuis ces dernières années, le Tibet se trouve dans sa meilleure période de croissance car le changement considérable et accéléré apporte plus d'avantages réels aux masses populaires. Cependant, la clique du dalaï-lama qui tient à diviser la patrie ne veut pas voir l'émancipation du peuple tibétain, encore moins le voir mener une vie heureuse sous la direction du Parti communiste chinois. Elle se creuse la tête pour perturber le développement stable du Tibet et saboter les JO de Beijing. A la mi-mars 2008, de graves émeutes ont eu lieu à Lhassa à l'instigation excessive de la clique du dalaï-lama. Une poignée de hors-la-loi ont entrepris des actes de vandalisme, de saccage et d'incendie criminel, causant de graves pertes matérielles et humaines et détériorant la stabilité sociale du Tibet. Principalement le 14 mars, un petit nombre d'énergumènes s'est rassemblé dans les rues de Lhassa, criant des slogans séparatistes, incendiant massivement, jetant des pierres sur des policiers en service, frappant des passants, attaquant des banques, magasins, services de télécommunication et institutions gouvernementales. 18 personnes sont mortes d'incendie ou de coups de couteau, 383 personnes ont été blessées (dont 58 grièvement). Les émeutiers ont mis à feu plus de 300 endroits, endommageant 908 magasins, 7 écoles, 120 habitations et 5 hôpitaux, saccageant 10 services de finances et réduisant en cendres au moins 20 bâtiments et 84 véhicules à moteur. Les dégâts matériels qui en résultaient s'élevaient à 250 milliards de yuans. De plus, plusieurs dizaines d'agents de la police armée et de la police de la sécurité publique ont été blessés, dont plus de dix ont été grièvement blessés. Face aux émeutes, les policiers locaux ont maintenu au maximum leur retenue, tenant à convaincre patiemment les émeutiers d'arrêter leur sabotage. Après la survenue des violences, le gouvernement local a pris des mesures fermes en conformité de la loi pour porter de rudes coups aux criminels. Les émeutes ont été apaisées, et l'ordre social est retourné à la normale à Lhassa. Les magasins, écoles et banques abîmés lors des émeutes ont été restaurés ; les commerçants individuels dont la propriété avait été endommagée ont tous bénéficié d'une subvention du gouvernement local. De plus, le Bureau d'éducation du Tibet a octroyé dans l'immédiat 600 000 yuans pour la réparation de sept écoles et l'achat d'équipement d'enseignement. Suffisamment de preuves révèlent que cet incident a été soigneusement organisé, prémédité et fomenté par la clique du dalaï-lama, avec comme dessein diabolique de créer des difficultés à une époque sensible, d'inventer plus de rumeurs voire même de recourir à la violence sanglante, afin d'exercer une pression sur le gouvernement chinois, de perturber les Jeux Olympiques de Beijing, de saboter la situation sociopolitique stable et harmonieuse, de séparer le Tibet du territoire de la patrie. Le développement de l'économie et la vie heureuse du peuple ne peuvent pas être garantis sans stabilité sociale. Actuellement, les divers ethnies du Tibet oeuvrent à la construction d'une société de moyenne aisance au développement général. A l'encontre de la volonté du peuple, la tentative de la clique dalaï-lama de saboter la paix du Tibet sera vouée à l'échec. |