Par ailleurs, le Tibet a fait grand cas de la circulation des produits agricoles. On a construit des marchés de gros des produits agricoles dans quatre villes au niveau de la préfecture ; les projets et les préparatifs de construction de marchés de produits agricoles et de marchés frontaliers progressent.

Autour de la tâche primordiale d'augmenter le revenu des agriculteurs et éleveurs et d'améliorer leurs conditions de vie, le gouvernement de la région ne cessait d'accroitre les investissements dans les régions rurales. En 2007, 4,02 milliards de yuans ont été investis dans le domaine agricole (+61,4 %), dont 145 millions de yuans destinés spécialement à exploiter l'agriculture et l'élevage aux caractéristiques locales ; 48,5 millions pour former des agriculteurs et éleveurs afin d'élever leur niveau technique de production et d'améliorer leur qualité ; 170 millions pour l'exploitation intégrée de l'agriculture et de l'élevage ; 62 millions pour les travaux agro-hydrauliques ; 140 millions pour progresser la réforme intégrale dans la campagne ; et 65,33 millions pour la prévention et le traitement des maladies du bétail et des cultures.

Étant donné la localisation de la plupart des régions principales de production céréalière dans la zone aride et semi-aride, le Tibet est m arqué par une agriculture irriguée. Donc, le point crucial pour l'amélioration des conditions de production agricole et de l'élevage consiste à accélérer la construction des infrastructures d'irrigation. En 2007, suivant la mise en œuvre accélérée des trois travaux d'irrigation sur les bassins des fleuves Nyang Qu, Lhassa et Yarlung, on a augmenté et amélioré les champs irrigables de 5 543 hectares dans les régions de Mamlha, Meda et Yarlung, créant des conditions nécessaires pour obtenir des récoltes abondantes.

En 2007, 44 nouveaux projets agricoles et d'élevage aux caractéristiques locales entrent dans la phase d'exécution, impliquant 7 préfectures (villes) et 50 districts et investissant au total près de 360 millions de yuans, y compris le financement étatique (61,07 %), les capitaux recueillis par des masses, les fonds mobilisés par des entreprises et le lancement des prestations collectives. Grâce à ces projets, le Tibet formera un contingent d'entreprises pilotes et de marques connues de produits agricoles et d'élevage.