Q : On a constaté certaines divergences entre la Chine et le Soudan sur les nombres des citoyens chinois blessés, tués et portés disparus au Soudan. Les deux parties sont-elles maintenant en accord ? Quels sont les membres du groupe de travail chargé de la gestion de cette affaire ?

R : Je viens de vous donner les dernières informations sur cette affaire. Celle-ci a fait quatre morts et deux disparus. Trois personnes ont été libérées. Ce sont les derniers chiffres que j'ai obtenus.

Au lendemain de l'enlèvement des Chinois, c'est-à-dire le 19 octobre, la CNPC a dépêché un groupe de travail au Soudan pour aider à gérer la situation. Le groupe de travail qui est parti ce matin est un groupe de travail du gouvernement chinois dirigé par le Ministère des Affaires étrangères avec des représentants du Ministère du Commerce et de la CNPC.

Q : Conformément à un accord de la réunion des Chefs de délégation aux pourparlers à six, les actions de la deuxième phase devront se terminer avant la fin octobre, c'est-à-dire demain, ce qui est de toute évidence impossible. Quelles en sont selon vous les causes principales ?

R : A l'heure actuelle, les pourparlers à six ont devant eux une opportunité pour aller de l'avant. Les différentes parties concernées travaillent en ce moment à concrétiser les actions de la deuxième phase. La Chine entend oeuvrer de concert avec les différentes parties pour trouver au plus tôt une solution adéquate aux problèmes concernés en vue d'une mise en oeuvre globale et équilibrée des actions de la deuxième phase et d'un avancement continu des pourparlers à six. Il existe un consensus entre les six parties sur la tenue au plus tôt et à un moment convenable pour toutes les parties de la prochaine réunion des Chefs de délégation. La Chine mène en ce moment des concertations et consultations avec les autres parties sur la date précise de cette réunion.

Si vous n'avez plus de question, je lève la séance et vous remercie de votre présence. Au revoir.