Conférence de presse du 24 avril 2008 |
Q : Est-ce que la partie chinoise organisera des journalistes étrangers accrédités en Chine pour couvrir le relais de la troche olympique sur le mont Qomolangma ? R : Le relais de la torche sur le mont Qomolangma sera couvert par les médias. Je vous prie de vous renseigner auprès du BOCOG sur les informations précises. Je vous ai dit que les détenteurs de droits de retransmission sont les prioritaires. En outre, on doit encore tenir compte des conditions climatiques particulières locales. Par exemple, on doit se poser la question pour savoir si les journalistes peuvent s'adapter à l'altitude de plus de 5 000 mètres. Q : Selon le Comité olympique australien, si le parcours de la torche olympique à Canberra est couronné d'un succès, c'est parce que le rôle des gardiens de la flamme a été réduit au minimum. Quelle est votre réaction à cet égard ? R : Le nombre des gardiens de la flamme olympique est fixé par le BOCOG et les pays concernés en prenant en considération les réalités locales. Il n'existe donc pas une norme fixe. L'essentiel est d'assurer le relais de la flamme olympique dans d'heureuses conditions et en sécurité, pour qu'il ne soit pas perturbé, saboté et entaché. On remportera le succès si cet objectif est atteint. Si vous n'avez plus de questions, je lève la séance et merci de votre présence. A la prochaine ! |
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