Un patrimoine culturel en otage |
Des années 1840 jusqu'à la fondation de la République populaire de Chine en 1949, un grand nombre de précieuses antiquités ont été pillées par des envahisseurs. À l'heure actuelle, l'Europe et le Japon en sont les deux premiers possesseurs.
La Grande-Bretagne En raison de son abondante collection, la Grande-Bretagne est le premier pays receleur d'antiquités chinoises en Europe. Le British Museum abrite plus de 23 000 objets d'art chinois, couvrant presque toutes les formes artistiques telles que la peinture, la calligraphie, la sculpture ou bien encore la poterie. La reproduction d'une peinture de Gu Kaizhi, prestigieux peintre de la dynastie des Jin orientaux, et des peintures traditionnelles chinoises sur soie de Dunhuang en sont les plus célèbres. Hormis le British Museum, de nombreuses œuvres d'art chinoises sont exposées à la British Library, au Fitzwilliam Museum de Cambridge ainsi qu'au musée d'Ecosse. |