Adoption des nouveaux standards de la qualité de l'air ambiant |
Le 5 décembre 2011, la ville de Beijing est couverte d'un brouillard épais. Le 30 décembre dernier, le ministre de la Protection de l'environnement Zhou Shengxian a présidé une conférence permanente, durant laquelle ont été approuvés les versions révisées des Standards de la qualité de l'air ambiant, et des Règlements techniques sur l'indice de la qualité de l'air (IQA), ainsi que le projet de construction du réseau de surveillance de la qualité de l'air au cours du XIIe plan quinquennal (2011-2015). Selon la conférence, les standards actuels de qualité de l'air ambiant ont joué un rôle positif en termes de prévention contre la pollution de l'air et de protection de la santé publique. Cependant, avec l'essor socio-économique, les causes de la pollution de l'air se multiplient, notamment les particules atmosphériques et l'ozone, et certaines villes sont souvent recouvertes d'une brume de poussière. La pollution de l'air constitue déjà une menace pour la santé publique. Dans le même temps, il existe des écarts entre les évaluations publiées et les sentiments des habitants. Ainsi, pour s'adapter au niveau du développement socio-économique du pays et mettre l'homme au centre de toutes les préoccupations, il est nécessaire de réviser les Standards de la qualité de l'air ambiant sur la base du bilan des expériences pratiques, afin d'améliorer les normes de la surveillance de l'air, d'augmenter les indices de la surveillance des polluants, et de perfectionner les méthodes d'évaluation de la qualité de l'air. Le ministère de la Protection de l'environnement attache toujours une haute importance à la révision des Standards. Après son déclenchement en 2008, les professionnels concernés ont fait des recherches approfondies sur les normes de qualité de l'air dans une dizaine de pays, régions ou organisations, puis ont rédigé le premier jet en analysant la situation réelle du développement socio-économique, des caractéristiques de l'air et des demandes du contrôle de la Chine. Au mois de septembre 2009, le ministère a organisé un débat sur Internet pour recueillir les avis de divers milieux sociaux, afin de perfectionner les standards. Au mois d'août 2011, la conférence permanente du ministère a écouté le rapport sur la révision des standards, et délibéré l'orientation de la révision. A la suite de la conférence, plus de 30 académiciens et experts dans le domaine des sciences atmosphériques ont complété les standards après de nombreuses recherches et discussions. Au mois de novembre 2010 et de novembre 2011, deux demandes d'avis et de conseils ont été effectuées. En décembre 2011, la nouvelle version des standards a été approuvée. Voici les modifications qu'apportent les nouveaux standards. Premièrement, on a changé le système de classification des zones fonctionnelles de l'air ambiant, intégrant la zone de troisième catégorie (zone d'industrie particulière) dans la zone de deuxième catégorie (zone d'habitation, zone mixte de commerce, de transports et d'habitation, zone de culture, zone d'industrie ordinaire et zone rurale). Deuxièmement, on a réajusté le nombre et les limites des polluants, en ajoutant la valeur limite dans l'air pour la concentration moyenne des particules fines (PM2,5) et pour la concentration d'ozone moyenne sur 8 heures, et en resserrant la valeur limite pour la concentration des polluants, dont le PM10, le dioxyde d'azote, le plomb et le benzopyrène. Troisièmement, on a prescrit des exigences plus strictes sur la validité des statistiques des données de contrôle. Quatrièmement, on a augmenté les normes sur les méthodes d'analyse sur des polluants tels que l'oxyde sulfureux, le dioxyde d'azote, l'ozone et les particules. Cinquièmement, comme les nouveaux standards seront mis en application par étapes, on a précisé les dates d'application des nouveaux Standards pour les secteurs différents.
Beijing Information
PM 2,5 ajouté aux standards de la qualité de l'air Le 30 décembre dernier, le ministre de la Protection de l'environnement Zhou Shengxian a présidé une conférence permanente, durant laquelle ont été approuvés les versions révisées des Standards de la qualité de l'air ambiant, et des Règlements techniques sur l'indice de la qualité de l'air (IQA), ainsi que le projet de construction du réseau de surveillance de la qualité de l'air au cours du XIIe Plan quinquennal (2011-2015).
Le 5 décembre 2011, la ville de Beijing est couverte d'un brouillard épais. Selon la conférence, les standards actuels de qualité de l'air ambiant ont joué un rôle positif en termes de prévention contre la pollution de l'air et de protection de la santé publique. Cependant, avec l'essor socio-économique, les causes de la pollution de l'air se multiplient, notamment les particules atmosphériques et l'ozone, et certaines villes sont souvent recouvertes d'une brume de poussière. La pollution de l'air constitue déjà une menace pour la santé publique. Dans le même temps, il existe des écarts entre les évaluations publiées et les sentiments des habitants. Ainsi, pour s'adapter au niveau du développement socio-économique du pays et mettre l'homme au centre de toutes les préoccupations, il est nécessaire de réviser les Standards de la qualité de l'air ambiant sur la base du bilan des expériences pratiques, afin d'améliorer les normes de la surveillance de l'air, d'augmenter les indices de la surveillance des polluants, et de perfectionner les méthodes d'évaluation de la qualité de l'air. Le ministère de la Protection de l'environnement attache toujours une haute importance à la révision des Standards. Après son déclenchement en 2008, les professionnels concernés ont fait des recherches approfondies sur les normes de qualité de l'air dans une dizaine de pays, régions ou organisations, puis ont rédigé le premier jet en analysant la situation réelle du développement socio-économique, des caractéristiques de l'air et des demandes du contrôle de la Chine. Au mois de septembre 2009, le ministère a organisé un débat sur Internet pour recueillir les avis de divers milieux sociaux, afin de perfectionner les standards. Au mois d'août 2011, la conférence permanente du ministère a écouté le rapport sur la révision des standards, et délibéré l'orientation de la révision. A la suite de la conférence, plus de 30 académiciens et experts dans le domaine des sciences atmosphériques ont complété les standards après de nombreuses recherches et discussions. Au mois de novembre 2010 et de novembre 2011, deux demandes d'avis et de conseils ont été effectuées. En décembre 2011, la nouvelle version des standards a été approuvée. Voici les modifications qu'apportent les nouveaux standards. Premièrement, on a changé le système de classification des zones fonctionnelles de l'air ambiant, intégrant la zone de troisième catégorie (zone d'industrie particulière) dans la zone de deuxième catégorie (zone d'habitation, zone mixte de commerce, de transports et d'habitation, zone de culture, zone d'industrie ordinaire et zone rurale). Deuxièmement, on a réajusté le nombre et les limites des polluants, en ajoutant la valeur limite dans l'air pour la concentration moyenne des particules fines (PM2,5) et pour la concentration d'ozone moyenne sur 8 heures, et en resserrant la valeur limite pour la concentration des polluants, dont le PM10, le dioxyde d'azote, le plomb et le benzopyrène. Troisièmement, on a prescrit des exigences plus strictes sur la validité des statistiques des données de contrôle. Quatrièmement, on a augmenté les normes sur les méthodes d'analyse sur des polluants tels que l'oxyde sulfureux, le dioxyde d'azote, l'ozone et les particules. Cinquièmement, comme les nouveaux standards seront mis en application par étapes, on a précisé les dates d'application des nouveaux Standards pour les secteurs différents.
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