La partie émergée de l'iceberg |
Des recherches qui font référence Au fil des années, Qin a participé à de multiples expéditions scientifiques au pôle Sud, au pôle Nord ainsi que sur le plateau du Qinghai-Tibet. Il fut également le chef de file de recherches extensives et approfondies portant sur la calotte glaciaire du pôle Sud, l'évolution glaciaire et les changements environnementaux dans le massif de l'Himalaya. Le fruit de ses études a eu d'importantes retombées. Les investigations de M. Qin ont attiré les projecteurs sur les changements climatiques. D'après lui, près de 90 % du réchauffement planétaire sont imputables aux activités humaines et si notre comportement n'évolue pas radicalement, la température moyenne pourrait grimper en moyenne de 6ºC d'ici à la fin de 2100. Des études corroborent en partie ses affirmations et précisent qu'une augmentation de 4ºC de la température moyenne pourrait aboutir sur une perte de 1 à 5% sur le PIB mondial. Les découvertes de la communauté de chercheurs ont été retracées dans les rapports d'évaluation du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC). Fondé en 1988, celui-ci a pour objectif d'analyser les informations pertinentes pour la compréhension des risques imputables à l'homme sur les changements climatiques. Il fut également le co-président du groupe de travail nºI sur le quatrième rapport d'évaluation, dévoilé en 2007, et fut un membre de l'équipe centrale de rédaction du rapport. En juin 2008, le 53e Prix de l'Organisation internationale météorologique lui fut remis par l'OMM. Ce prix est décerné chaque année aux personnes ayant réalisé un travail remarquable dans le domaine de la météorologie ou dans toute autre discipline connexe. M. Qin fut le second lauréat chinois de ce qui est souvent perçu comme le « Prix Nobel de météorologie ». Cet éminent universitaire a dédié bon nombre de ses efforts à la sensibilisation de la population aux changements climatiques. Lors de la remise d'un rapport à l'occasion d'une réunion des membres de l'ACS en juillet 2008, il souligna devant l'auditoire qu'à court terme le recul des glaciers devrait accélérer le flux de circulation des eaux des glaciers dans les rivières, mais qu'au fil du temps, à l'approche de la fonte totale des glaciers, l'approvisionnement en eau se réduirait à peau de chagrin. C'est pourquoi, le réchauffement climatique pourrait menacer la sécurité des réserves aquifères du pays. |
30 octobre 2012 |
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