La Chine conjugue son avenir énergétique avec celui de la fusion nucléaire : projet ITER |
La recherche chinoise sur la fusion nucléaire a intégré depuis quelques années une nouvelle stratégie de développement d'énergie. Cette stratégie, communément désignée sous le nom de « stratégie en trois étages », a particulièrement mis l'accent sur le développement des technologies ayant trait à la production de réacteurs à eau sous pression, de réacteurs surgénérateurs à neutrons rapides et de réacteurs de fusions. Institut de Physiques du Sud-Ouest de Chine Ces avancées technologiques, encouragées par le Ministère chinois des sciences et des technologies seront appliquées pour le développement de l'ITER. Deux centres de recherche, en particulier participeront à cet effort international pour une énergie alternative, l'Institut de Physiques du Sud-Ouest (IPSO, ou SWIP selon l'acronyme anglophone) ainsi que l'Institut de Physique des Plasmas (IPP, ou ASIPP selon l'acception anglophone). L'Institut de Physique des Plasmas (IPP) a été fondé par l'Académie chinoise des Sciences dans la ville de Hefei (province de l'Anhui), ville dans laquelle fut ultérieurement fondée l'Université des sciences et des technologies de Chine. |