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Une démarche verte

Ge Lijun  ·  2022-09-02  ·   Source: La Chine au présent
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La Chine a accompli des réalisations de calibre mondial dans le domaine de la protection écologique au cours des dix dernières années.  

 

 

Reboisement sur la montagne Jiguan, à Luanzhou, dans la province du Hebei, le 23 juillet 2021. (XINHUA)  

   

Vivant sous un ciel désormais d’une couleur qu’ils appellent « bleu de Beijing », les habitants de la capitale sont les premiers à constater l’évolution de la qualité de l’air en Chine. Au cours de la dernière décennie, la lutte contre la pollution atmosphérique a fait du ciel bleu une condition météorologique normale dans la capitale, autrefois connue pour son ciel gris causé par la brume en hiver. 

L’évolution de la qualité de l’air n’est qu’un microcosme du développement vert de la Chine. L’environnement écologique du pays a connu un tournant historique au cours de la dernière décennie, a déclaré Han Wenxiu, directeur adjoint du Bureau de la Commission des affaires financières et économiques du Comité central du Parti communiste chinois. Selon lui, le boisement artificiel de la Chine a représenté environ un quart du total mondial, et les émissions de CO2 par unité de PIB du pays ont diminué d’environ 34 %. Le pays s’est également classé au premier rang mondial en matière de capacité installée d’énergie éolienne et photovoltaïque et d’autres énergies vertes, ainsi qu’en matière de production et de ventes de véhicules à énergie nouvelle. En tant que fidèle défenseur de l’Accord de Paris, la Chine a annoncé ses objectifs de pic des émissions de CO2 avant 2030 et de neutralité carbone avant 2060.    

Défendre un ciel bleu    

La lutte contre la pollution de l’air ne remonte qu’à une décennie. En septembre 2013, le Conseil des affaires d’État a publié un plan d’action pour le traitement de la pollution atmosphérique, proposant 35 mesures couvrant dix domaines tels que le contrôle des émissions de polluants des véhicules à moteur, le contrôle de la consommation de charbon et la restructuration industrielle régionale, marquant le lancement de la bataille de la Chine pour défendre un ciel bleu. En juillet 2018, le Conseil des affaires d’État a publié un autre plan d’action triennal pour remporter la bataille, après quoi la qualité de l’air s’est progressivement améliorée. 

À Beijing, le gouvernement municipal a mis en œuvre une série de mesures depuis 2013, allant de la réduction de l’utilisation de charbon et de carburant au contrôle de la poussière. Le taux de PM2,5 a chuté de 63,1 % entre 2013 et 2020, a noté le Bureau municipal de l’écologie et de l’environnement de Beijing. La concentration moyenne de PM2,5 était de 33 microgrammes par mètre cube en 2021. La ville a ainsi fait une percée dans son traitement de la pollution de l’air en atteignant la norme nationale, réalisant ce que le Programme des Nations unies pour l’environnement a appelé le « miracle de Beijing ». 

D’autres villes du pays sont passées par le même processus. Selon le ministère de l’Écologie et de l’Environnement (MEE), entre 2013 et 2020, la concentration de PM2,5 dans les 74 principales villes ayant mis en œuvre les nouvelles normes de qualité de l’air a diminué de 48,6 %, le ratio de jours de bonne qualité de l’air ayant augmenté de 17,9 points de pourcentage et le nombre de jours fortement pollués chuté de plus de 80 %.  

La bataille pour une meilleure qualité de l’air s’est poursuivie. En 2022, le budget de la Chine pour le traitement de la pollution atmosphérique s’élève à 20,7 milliards de yuans (3,07 milliards de dollars), soit une augmentation de 8,2 milliards de yuans (1,22 milliard de dollars) par rapport à 2021. Ces fonds seront utilisés pour soutenir des programmes clés tels que le chauffage à base d’énergie propre pendant l’hiver dans le nord de la Chine et le traitement en profondeur de la pollution industrielle, dans le but d’optimiser les structures industrielles et énergétiques du pays, qui sont essentielles pour la qualité de l’air.  

L’objectif est de réduire la proportion de jours fortement pollués à moins de 1 % à l’avenir, a prévu Wu Xianfeng, directeur adjoint du Département de l’environnement atmosphérique du MEE. Selon lui, outre l’ajustement structurel et l’optimisation en termes d’industrie, d’énergie, de transport et d’utilisation des sols, la prévision de la qualité de l’air et l’intervention d’urgence concertée en cas de forte pollution seront également mises en place pour réduire les émissions de polluants. 

  

 

Des aigrettes dans les zones humides de l’estuaire de la rivière Minjiang, dans la province du Fujian, le 21 avril. (XINHUA)  

  

Améliorer la couverture forestière 

En juillet, la ferme forestière de Saihanba, dans la province du Hebei, est recouverte d’une verdure infinie. Il y a dix ans, la ferme a lancé une campagne de reboisement, et aujourd’hui, les montagnes rocailleuses autrefois stériles du champ forestier sont toutes couvertes d’arbres, la superficie forestière totale atteignant 1,15 million de mu (80 000 hectares). 

Selon Chang Weiqiang, chef adjoint de la section forestière de la ferme, en 2021, la ferme a reboisé plus de 100 000 mu (6 667 hectares) de montagnes rocailleuses, le taux de préservation et de survie des arbres dépassant tous deux 90 %. Le programme d’afforestation de Saihanba a obtenu, en décembre 2017, le prix « Champion de la Terre », la plus haute distinction environnementale de l’ONU. 

Les données de l’Administration nationale des forêts et des prairies montrent que depuis 2012, la couverture forestière de la Chine a continué d’augmenter pour atteindre son niveau actuel de plus de 23 %, et la couverture végétale globale des prairies a atteint 58 %, avec plus de 50 % de la terre humide sous protection. À l’échelle mondiale, le pays a connu la plus forte croissance des ressources forestières et a planté le plus de forêts artificielles. Entre 1981 et 2021, 17,5 milliards de citoyens cumulés ont participé à la plantation volontaire d’arbres à travers le pays, avec 78,1 milliards d’arbres plantés. 

D’après Zeng Yande, directeur du Département de la planification du développement du ministère de l’Agriculture et des Affaires rurales, la Chine a contribué aux nouveaux espaces verts les plus importants au monde, en préservant les écosystèmes forestiers et herbacés, en menant des campagnes de reboisement à grande échelle, et en mettant en œuvre des interdictions de pâturage saisonnières et prolongées ainsi qu’un contrôle de l’élevage en fonction de la capacité des prairies à fournir du fourrage.   

Préserver la biodiversité   

Li Dongwei, chef de l’équipe de patrouille du Bureau forestier de Hunchun, dans la province du Jilin, est en mission depuis dix ans. Dans le Parc national du tigre et du léopard de Sibérie, les empreintes des tigres sont clairement visibles dans les forêts denses après la pluie. En suivant ces empreintes, M. Li et les membres de son équipe sont heureux de les repérer de temps en temps.  

En 2017, le parc a fait l’objet d’un projet pilote. En octobre 2021, il est devenu l’un des cinq premiers parcs nationaux officiellement dévoilés. Il y a dix ans, on avait prédit l’extinction des tigres de Sibérie en Chine. Fin 2021, on comptait 50 tigres de Sibérie sauvages et 60 léopards de l’Amour dans le parc, contre 27 et 42 en 2017. 

Le 12 octobre 2021, lors du sommet des dirigeants de la 15e Réunion de la Conférence des Parties (COP 15) à la Convention sur la diversité biologique, le Président Xi Jinping a annoncé la création officielle du premier groupe de parcs nationaux, qui couvrent une superficie totale de plus de 230 000 kilomètres carrés et conservent près de 30 % des principales espèces sauvages du pays. 

La Chine fait partie des pays dont la diversité végétale est la plus riche, ayant plus de 37 000 espèces végétales parmi les plus de 300 000 espèces découvertes et nommées par l’homme. Lin Qinwen, ingénieur au Jardin botanique national et à l’Institut botanique de l’Académie chinoise des sciences, a précisé à CHINAFRIQUE que sur les quelque 2 000 nouvelles espèces végétales nommées chaque année dans le monde au cours de la dernière décennie, un dixième a été découvert en Chine. 

Jusqu’à présent, la Chine a mis en place un système de préservation de la nature composé de parcs nationaux, de réserves naturelles et de différents types de parcs naturels, protégeant plus de 90 % des types d’écosystèmes terrestres et 71 % des principales espèces sauvages. 

Sun Jinlong, secrétaire du groupe dirigeant du Parti du MEE, a souligné que le déclin de la biodiversité n’étant pas encore maîtrisé, la communauté internationale devait encore faire de gros efforts. Dans le cadre du concept de coexistence harmonieuse entre l’homme et la nature, la Chine intensifiera ses efforts pour promouvoir la conservation de la biodiversité avec des mesures plus concrètes et apportera la sagesse chinoise à la conservation de la biodiversité mondiale, a-t-il ajouté.  

  

 

Nettoyage de déchets dans le parc de zones humides urbaines de Dongpo à Meishan, dans la province du Sichuan, tôt le matin du 24 juin. (XINHUA)  

  

Réduire les émissions de carbone   

La Chine vise à atteindre le pic de ses émissions de CO2 d’ici 2030 et parvenir à la neutralité carbone d’ici 2060, a fait part le Président Xi Jinping devant l’Assemblée générale de l’ONU, le 22 septembre 2020. Le 16 juillet 2021, le marché national du carbone a vu le jour. Le marché sera l’un des plus grands marchés d’émissions de gaz à effet de serre du monde. La production d’électricité est la première industrie à s’être jointe au marché, impliquant plus de 2 000 entités clés, soit plus de 40 % des émissions nationales de carbone. Le système d’échange couvrira d’autres secteurs clés tels que l’acier, les produits chimiques, les matériaux de construction, le papier, et les métaux non ferreux, entre autres. 

Au cours de la dernière décennie, le secteur énergétique chinois a réalisé des progrès considérables dans sa transition vers un développement à faible émission de carbone. Selon la Commission du développement et de la réforme, la capacité installée de production d’électricité à partir d’énergies renouvelables en Chine a dépassé un milliard de kilowatts, celle d’énergies hydroélectrique, éolienne, solaire et de biomasse se classant au premier rang mondial. La part des énergies propres dans la consommation totale d’énergie est passée de 14,5 % à 25,5 %, et la capacité des unités de production au charbon à très faibles émissions a dépassé un milliard de kilowatts, avec une efficacité énergétique et des niveaux d’émissions parmi les meilleurs au monde. 

Les données du ministère de l’Industrie et de l’Informatisation montrent qu’en 2021, 3,5 millions de véhicules à énergie nouvelle ont été vendus en Chine, soit une progression de 1,6 fois en glissement annuel, se classant au premier rang mondial pour la septième année consécutive. 

Xie Zhenhua, l’envoyé spécial de la Chine pour le changement climatique, a renchéri que la Chine avait fait de la lutte contre le changement climatique une exigence inhérente à son propre développement durable. Selon lui, la Chine a formulé et mis en œuvre des plans d’action détaillés dans 37 secteurs. Les calendriers, les feuilles de route et les politiques concrètes sont tous explicitement disponibles.   

Respecter les engagements internationaux   

Concernant le développement vert, la Chine est à la fois un apprenant et un partisan. Elle s’est inspirée de l’expérience des pays développés dans les domaines de la protection de l’environnement, du climat et de la conservation de la biodiversité, et a également renforcé la coopération avec les pays en développement dans le cadre de la coopération Sud-Sud. Le 21 septembre 2021, lors du débat général de la 76e session de l’Assemblée générale de l’ONU, le Président Xi a annoncé que la Chine allait intensifier son soutien aux autres pays en développement pour qu’ils élaborent des plans en matière d’énergies vertes et à faible émission de carbone, et que la nation ne construirait plus de nouveaux projets de centrales à charbon à l’étranger. 

La collaboration sur le changement climatique est également un aspect important de la coopération sino-africaine. En 2021, la huitième Conférence ministérielle du FCSA a adopté la Déclaration sur la coopération sino-africaine de lutte contre le changement climatique. Le développement vert a été inclus comme l’un des neuf programmes du premier plan triennal de la Vision 2035 de la coopération Chine-Afrique. Selon ce plan, la Chine entreprendra dix projets de développement écologique, de protection de l’environnement et d’action climatique pour l’Afrique.   

Dans ce contexte, un atelier sur la construction de la « Grande Muraille verte » a été organisé en avril de cette année. Plus de 20 fonctionnaires de six pays africains, à savoir le Burkina Faso, le Mali, le Niger, la Mauritanie, le Sénégal et le Tchad, y ont participé en ligne. 

La Chine est un partenaire important de l’Afrique dans la transformation verte. Jusqu’à présent, la Chine a mis en œuvre des centaines de projets d’énergies propres dans le cadre du FCSA, soutenant le développement autonome et durable des pays africains pour utiliser leurs avantages en matière d’énergie solaire, d’hydroélectricité, d’énergie éolienne, de biogaz et d’autres sources d’énergie propre. 

Au Cameroun, la centrale hydroélectrique de Memve’ele a été construite par l’entreprise chinoise PowerChina. Mise en œuvre en décembre 2017, la centrale a atténué la grave pénurie d’électricité du Cameroun. Le ministère camerounais de l’Eau et de l’Énergie estime qu’avec la centrale en service, le pays peut économiser environ 350 millions de francs CFA (0,53 million de dollars) par semaine qui auraient été utilisés pour subventionner la production d’électricité thermique. « La centrale a apporté une énergie propre au Cameroun, élargissant l’approvisionnement en électricité du pays et réduisant le coût de la production d’électricité », a exprimé à CHINAFRIQUE Ngangoua Serge, représentant de la société au Cameroun. 

À l’occasion du 30e anniversaire de la fondation du Conseil chinois pour la coopération internationale sur l’environnement et le développement en 2022, Zhang Jianyu, directeur exécutif de l’Institut international du développement vert de l’initiative « la Ceinture et la Route », a écrit : le conseil a témoigné au fil des ans que la Chine était en mesure de faire des progrès dans le développement économique et social et la réduction de la pauvreté tout en maintenant le développement écologique. « Cela montre que le développement social, économique et environnemental peut aller de pair », a-t-il résumé.  

  

ENCADRÉ 1    

 

Le Parc national des sources des trois fleuves     

Située sur le plateau Qinghai-Tibet, la zone placée sous protection s’étend sur 190 700 km2, ce qui garantit la protection globale des sources du fleuve Yangtsé, du fleuve Jaune et du fleuve Lancang. Les glaciers, les montagnes couvertes de neige, les zones humides à haute altitude, le désert de Gobi, la steppe alpine sont largement présents dans le parc. Avec une variété d’écosystèmes, de structures et de fonctions complètes, le parc est un modèle en matière de protection d’écosystème alpin à grande échelle sur le plateau Qinghai-Tibet, 3e pôle de la Terre. 

  

Le Parc national du panda géant     

Le parc se trouve dans les provinces du Sichuan, du Shaanxi et du Gansu. La zone placée sous la protection s’étend sur 22 000 km2. Cette zone à forte concentration de pandas géants sauvages est leur principal habitat et lieu de reproduction. Le parc protège plus de 70 % de pandas géants sauvages en Chine. Le parc, riche en biodiversité et doté d’un paysage naturel et culturel unique, est un modèle en matière de protection de la biodiversité et d’éducation sur l’écosystème dans le monde, et une zone pionnière qui incarne les valeurs écologiques. 

  

Le Parc national du tigre et du léopard de Sibérie     

La zone placée sous protection s’étend sur 14 100 km2 dans les provinces du Jilin et du Heilongjiang. Le plus grand groupe de tigres et de léopards de Sibérie sauvages, qui est la seule à avoir formé une famille reproductrice en Chine, y vit. Doté d’une variété de types de plantes et d’un écosystème relativement complet, ce parc est un exemple type de l’écosystème de forêt tempérée et un modèle en matière de coopération et de protection transfrontalières. 

  

Le Parc national de la forêt tropicale humide de Hainan     

Couvrant une superficie de 4 269 km2, la zone placée sous protection se trouve au milieu de l’île de Hainan. Il préserve la forêt tropicale humide insulaire et continentale la plus complète et la plus diversifiée de la Chine. C’est la seule zone où vit le gibbon de Hainan, le plus rare de tous les primates dans le monde. Ce parc est aussi un trésor de la biodiversité tropicale et des ressources génétiques. C’est un modèle en matière de transmission de précieuses ressources naturelles de la forêt tropicale humide et insulaire et de protection de la biodiversité. 

  

Le Parc national de Wuyishan    

La zone placée sous protection se situe dans les provinces du Fujian et du Jiangxi, avec une superficie de 1 280 km2. Le plus grand et le plus complet écosystème de forêts sempervirentes indigènes à larges feuilles à la même latitude dans la zone subtropicale dans le monde, constitue une réserve précieuse de la faune et de la flore du sud-est de la Chine. Le mont Wuyi possède des ressources écologiques et humaines inégalées, ainsi qu’un « double patrimoine » culturel et naturel. C’est un modèle de transmission intergénérationnelle de la culture et de la nature, et de coexistence harmonieuse entre l’être humain et la nature.  

  

ENCADRÉ 2  

  

L’environnement écologique de la Chine a connu un tournant historique au cours de la dernière décennie : 

  

Forêt 

23,04 % 

Couverture forestière de la Chine actuellement 

78,1  

milliards 

Nombre d’arbres plantés en Chine de 1981 à 2021 

Atmosphère 

87,5 % 

Proportion de jours ayant une bonne qualité de l’air dans les principales villes chinoises en 2021 

18,39 % 

Croissance annuelle composée du marché du traitement de la pollution atmosphérique de la Chine de 2016 à 2020 

Eau 

88,9 % 

Taux de conformité en qualité nationale dans les eaux en Chine en 2020  

85 

Nombre de rivières et de lacs dans le bassin du fleuve Yangtsé où 131 sections sont couvertes de contrôle écologique du flux 

Prairie 

75  

millions d’hectares 

Superficie d’interdiction de pâturage dans 13 provinces et régions de la Chine 

58 % 

Couverture végétale globale des prairies de la Chine 

Lutte contre la désertification 

4,33 

millions d’hectares 

Diminution de la superficie des terres désertifiées en Chine depuis 2012 

1,77 

million d’hectares 

Superficie des terres désertifiées interdites d’accès pour assurer la restauration écologique pendant la dernière décennie   

Les énergies vertes 

56 % 

Part du charbon dans la consommation énergétique de la Chine en 2021, contre 70,2 % en 2011 

25,5 % 

Part de la consommation d’énergie propre en 2021, contre 16,9 % en 2014 

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