« L'ouverture et le manque de contrôle minent le marché culturel actuellement. Avec un syndicat, des problèmes tels que le copyright, la véracité des reportages et les mauvaises pratiques trouveraient une solution », estime Chen Daoming. « Les cas d'interdiction d'antenne pour certains acteurs sont légion. Mais de quel droit les télévisions les interdisent-elles ? Et qui juge si l'acteur doit ou non être interdit ?

Chen Daoming propose de créer au plus vite une organisation porte-parole des acteurs, sur le modèle de la Fédération nationale des Syndicats pour les ouvriers. « Actuellement, nous n'avons qu'une association qui manque de pouvoir. Sans pouvoir droit de parole, comment peut-elle protéger efficacement les intérêts des acteurs ? J'espère que les services concernés examineront attentivement cette question », a-t-il conclu.